Hello I love you won't you tell me your name? ▬ L I A M

Père castor, raconte-nous une histoire ♫♪

Il lui tournait le dos. Il fixait l'océan, l'air absent. Pourquoi ne se réjouissait-il pas? Pourquoi ne la prenait-il pas dans ses bras, pleurant de joie? C'était le plus beau cadeau qu'il pouvait arriver à un couple ce qu'elle venait de lui apprendre. Pourquoi était-il aussi sombre? Elle posait la main sur son épaule, hésitante. Il ne réagit pas à son contact. Il ne prononça qu'un seul mot... « Roz... » Ce nom, son nom, qu'il avait tellement prononcé par le passé, qui la faisait frissonner quand il le disait d'habitude, était empreins de tristesse... Elle posa la main sur sa joue, pour lui faire tourner la tête vers elle. Il lui prit le poignet, fermement, mais l'éloigna avec douceur de son visage. « Roz...Roosevelt... Tu sais pourquoi je dois partir... » Des larmes perlaient au coin de ses yeux. Oui elle le savait. Elle l'avait toujours su. Mais maintenant que cela arrivait, elle n'arrivait pas à l'accepter. Elle n'arrivait pas à le croire. Il ne pouvait pas la laisser ainsi!  « Non... Non! NON! Tu ne peux pas... Tu ne peux pas m'abandonner... Non... » Sa voix n'était plus qu'un murmure. Elle s'accrochait à lui, désespérément, pleurant franchement. Mais il ne lui montrait toujours pas son visage. Elle plaqua ses deux mains sur sa tête, le forçant à la regarder. Pris par surprise, il ne résista pas. En voyant ses yeux de la couleur de la mer, aussi attristé, ses pleurs redoublèrent. En regardant ce visage, si beau, qu'elle avait aimé, elle ne résista pas. Elle s'effondra sur lui, pleurant toujours. Il la berça doucement dans ses bras « Roz...Oh Roz.. » Elle pleurait. Elle pleurait la perte de son amour, elle pleurait la fin de son innocence. Elle pleurait, car elle savait que cela était la fin de quelques choses, et le début d'une autre.

« Tu es magnifique mon chéri ». Elle prit son bébé dans les bras, le berçant doucement. Elle rigola doucement en entendant les gazouillement de son fils... Son fils... Elle était mère. Elle était mère à 16 ans, d'un homme qu'elle avait passionnément aimé qui l'avait abandonné dès qu'il avait su pour sa grossesse. Et elle n'avait pas avorté. Le pouvait-elle seulement? C'était quand même me fruit d'un amour qui lui avait tant tenu... Et en voyant ce beau bébé, elle n'arrivait pas à le regretter... Même si elle ressentait un pincement au coeur quand elle croisait son regard si bleu, si semblable à celui de son père.... « Tu ressembles tellement à ton père.... Mais tu ne seras jamais comme lui. Tu ne seras jamais si egoïste. Oh non » Le bébé gazouillait gazouillait joyeusement, inconscient de ce que disait sa mère. Il attrapa une mèche de cheveux de cette dernière en rigolant. La jeune mère sourit gentiment . « Mon magnifique Liam... »

Le bébé pleurait. La mère, les cheveux en bataille, les yeux rougis, entra dans la pièce mal éclairé pour prendre son fils dans les bras en le berçant doucement. Elle parle d'une voix las « Mais qu'est-ce qu'il y a encore... ». Être mère, c'est vraiment dur... Elle chantonna une berceuse doucement, dans le but de calmer son fils. Cela sembla marcher à la longue. Le bébé arrêta progressivement de pleurer, pour finalement se calmer. Et là, un bruit sourd se fit entendre, comme plusieurs objets tombant d'un seul coup. La jeune mère regarda autours d'elle. Plusieurs jouets, il y a une heure très bien rangé, était à présent éparpillé partout. Qui avait pu faire cela? Certainement pas le gosse. Et là, elle comprit. Car elle en était elle-même une. Une sorcière. Un née-moldu pour être précis. Même si elle n'utilisait jamais la magie. Le père de Liam en était un aussi. Un sang-pur même. Qui avait eut trop honte d'avoir un enfant avec une "sang de bourbe" qu'il l'avait quitté dès qu'il avait su pour sa grossesse. La laissant seule avec sa honte. Et ce jour là, elle fit un serment. Elle ne lui dirait rien. Elle ne lui laisserait pas la magie gâchait sa vie comme elle avait gâché la sienne.

« Ceux de l'école se sont encore moqué de moi... » Il pleurait, comme à chaque fois qu'il revenait de l'école. Les élèves de sa classe s'acharnait sur lui, le rabaissant le plus possible. Et tout ce que trouvait sa mère pour la consoler était de le prendre dans ses bras. Elle ne savait pas quoi dire. Elle avait 23 ans! Elle n'était pas prête pour être mère! Une aventure sans lendemain avec un sorcier sang pur, c'est surfait, croyez la. Cela vous apporte que des ennuis. Elle aimait son fils, sans aucun doute, mais parfois, elle était... fatiguée. Son fils se faisait harceler et elle ne pouvait rien faire contre cela. Elle ne pouvait que le prendre dans ses bras...

9 ans, il avait déjà 9 ans... Le temps passait si vite... Son petit fils, son bébé, 9 ans! Elle prit son fils dans ses bras « Joyeux anniversaire mon chéri » « Merci maman! » dit joyeusement le petit garçon avant d'ouvrir ses cadeaux. Il s'exclama de joie en voyant ce qu'on lui avait offert, avant de sauter au cou de sa mère. Mais cette dernière avait un regard étrangement triste... « Qu'est-ce qui va pas maman? ». La jeune mère prit de nouveau son fils dans ses bras... « Liam....Mon chéri » Le jeune home l'interrogea du regard « Liam....Ne m'en veut pas... je.... je crois que... je n'y arrive plus... Non, ne parle pa s'il te plait... C'est assez difficile de te dire ça, mais je te dois la vérité... Je t'ai menti... Toute ses choses qui se passait auours de toi... Tu n'es pas dingue, tu est juste... Tu es... Un sorcier... je.... Je suis désolé de t'avoir fait croire ça » Elle ne finit pas sa phrase, elle pleura. Son fils prit maladroitement sa mère trop émotive dans ses bras. Et ce fut lui qui consola sa mère. Bizarrement, il ne lui en voulait pas d'avoir caché la vérité au point de lui avoir fait croire qu'il était dingue. Il pensa simplement à l'avenir, à tout ce que cette révélation lui ouvrait. un sorcier... Waouh.

Il regarda rapidement le courrier. Que des choses adressé à sa mère, comme d'habitude. A 10 ans, enfin 11 aujourd'hui, il ne recevait pas beaucoup de courrier. Pourtant, la dernière lettre, lui était adressé. Un lettre jauni d'un style ancien, avec un sceau de cire représentant un P...

Et voila maintenant Liam, 16 pige, encore et toujours à Poudlard. La suite? A moi de l'écrire...

RP Test

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« Jamais tranquille »

Un soirée comme les autres... Ou pas.
Qui peut en être sur? Personne. Mais en même temps, quels étaient les chances que quelques choses d'anormales arrivent? Un loup garou dans le dortoirs, un kraken dans les toilettes, une météorite qui détruise l'école? Bon, ok, là, je délirais un peu. En même temps, qu'est-ce que j'avais de mieux à faire en cette belle soirée? J'étais dans la salle commune des serpentards, assise sur une table, les jambes ballantes, le regard perdu dans le vide, à penser. C'était une soirée normale, entre ceux qui étaient parti faire la fête clandestinement dans une énième salle secrète de Poudlard, et ceux qui faisaient leurs devoirs comme de gentils toutous biens sages. Et après, il y avait ceux qui ne faisaient ni l'uns ni l'autres, comme moi. une fête? Je n'en avais pas envie. Mes devoirs? Rien que la perspective de les faire me fis rire. Moi? Comme une fille bien sage, m'avancer dans ses études? Et puis quoi encore? Je ne faisait plus attention aux études depuis un moment. Je s'arrangeais pour avoir des notes correct, pour avoir un minimum de chance d'avoir un autre métier que faire le trottoir, avenir que me prédisait certaines de personne -souvent des ex aigris ou des filles jalouses- mais quand même. Ce que je voulais faire, moi, c'était médicomage. Mais personne ne le savait ça, j'évitais le sujet de la carrière futur en permanence. J'imaginais déjà d'ici les ricanements moqueurs de certaines personnes en imaginant que mon rêve était d'aider les autres. J'étais donc si égoïste que ça? En tout cas, je m'étais battit une solide réputation d'individualiste. Bon, j'admettait ne pas être parfaite, mais de là à ne penser qu'à moi... J'essayais de penser aux autres quand même...?
Ou pas.

L'heure passait progressivement, la soirée me filait entre les doigts, avec toujours rien de mieux à faire que fixer un mur. C'était un joli mur aussi. Dans un style ancien, mais plutôt pas mal. En même temps, Poudlard ne datait pas d'hier, et rien n'était vraiment neuf. Ce mur que j'étais en train de fixer, peut-être que mon père, mon grand-père, ou des ancêtre à moi encore plus anciens l'avaient regardés avant moi. Bon, ok, je m'emballais un peu encore une fois. Mais je n'avais rien de mieux à faire, comme dit tout à l'heure...

▬ « Hey Jill! Salut!
▬ Au revoir! »

Je ne détournais même pas le regard je savais déjà qui c'était. Mark, un de mes énièmes ex-petit amis. En général, je me souvenais à peine de ces derniers, mais lui comment l'oublier? Il n'avait pas la même conception que moi du mot "fini". On étais sorti ensemble trois jours, le temps que je me rende compte que c'était un type obsessionnel avec des troubles de l'attachement... Super, j'avais le truc pour les trouver, moi, sans doute. Si au début, je me contentais de l'éviter ou le repousser gentiment, voulant le ménager, , je m'étais vite rendu compte que cela était inutile, aussi depuis, je ne me gênais pas pour lui dire d'aller se faire voir. Le jour où il me ficherait enfin la paix serait à marquer d'une croix blanche. En attendant, il était toujours là, à côté de moi, ne comprenant visiblement pas que je venais de lui dire poliment de dégager de ma vue. Je soupirais. Je descendais de ma table, et partit de la salle commune sans même un regard. il voulut me suivre au départ, puis quand il vit que je me dirigée vers le dortoirs féminin, d'arrêta. Je souris intérieurement, me réjouissant que les dortoirs ne soit pas mixtes, pour une fois.


Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.
J'étais devant la porte du dortoir. Et maintenant? Je ne pouvais pas retourner dans la salle commune, l'autre crétin y tait toujours. Mais bon, la perspective d'une soirée dans les dortoirs n'était pas particulièrement réjouissante... Sinon, il me restait l'option fenêtre, je pouvais toujours sauter... Bon, j'allais garder mes pensées suicidaires pour un autres jours. Pour ce que je faisais dans la salle commune, autant entrer dans le dortoir, je pourrais me reposer un peu au calme. Qui serais assez stupide pour aller dans les dortoirs aussi tôt dans la soirée?

J'aurais du m'en douter en même temps... le mot stupide et elle sont synonyme. Tayler, une peste de serpentard dans toute sa puissance, presque rien sur el dos, le regard perdu dans le vide, un clope en bec... Tayler quoi. Une certaine rage s'empara de moi, comme à chaque fois que je voyais cette... cette... aucun mot n'est assez fort pour désigner ce qu'elle est. Je ne supportais pas à un point phénoménale cette fille. Peut-être parce qu'on se ressemblait trop niveau caractère... mais qu'est-ce que je racontais moi encore? J'étais tout l'opposé de cette... Hum bref.

Et pendant un instant interminable, j'étais figée, dans son champ de vision, avec une question existentielle ou pas : Est-ce que je l'ignore ou je la provoque? La tentation de l'embêter était très forte, mais j'avais envie de passer une nuit sans histoire pour une fois. Il suffisait que je détourne le regard, et que je m'assois sur le lit jusqu'à ce que la fatigue m'emporte. Il suffisait que je me tourne vers l'autre bout du dortoir. Là maintenant...

▬ « White... que me vaut le déplaisir de ta présence?
▬ Certainement pas toi Daniels »

Répondis-je très vite. Sur le coup, je n'avais rien trouvé de mieux. Et j'aurais pu m'en tenir là... Oui, j'aurais pu... Mais je ne l'ai pas fait. Cette fille m'agaçait grandement, pour rester polie, et je ne rêvait que de faire de cette soirée un enfer pour elle. Mais le fait qu'elle me parle -qu'elle me provoque!- me rendait hors de moi. Je restais impassible, mais je bouillais intérieurement. Excessive moi? Peut-être. Mais rien que de voir cette fille, j'avais des envies de meurtres. Aussi, je ne m'arrêtais pas là. Je m'approchais d'elle, gentiment, l'air de rien. Et une fois que j'étais assez proche d'elle, je lui arrachais la cigarette des mains avec un rire moqueur.

▬ « Tu sais que ça va te pourrir la santé ça? Ce serais vraiment dommage que tu meurs... Quoique... »

Sans doute, c'était petit. Limite minable. Mais je ne tenais pas à faire preuve de grandeur d'âme avec Tayler Daniels. juste l'emmerder un maximum...
Ou pas.

Autre

Double Compte Eventuel Nop Code du règlement ok by Abby Comment as-tu connu le forum ? Jinna McAdams, ça vous rappelle quelqu'un? As-tu des suggestions pour améliorer le forum ? Pour l'instant nan, j'y réfléchit Un dernier mot pour la fin ? Chou bidou bah